31/05/2013

Solitude.

Puisque le genre humain est pour le moins moqueur, et puisqu’il y a prescription et que, ma foi, il est bon d’avoir un peu de recul sur sa personne (l’autodérision est signe de bonne santé mental il me semble), voici une petite chronique sur quelques uns de mes moments de solitude à moi, ou comment se taper la honte et rester digne…en apparence (à l’intérieur, en général, c’est moins glorieux: je me fustige, ma blâme, me dénigre …et autres synonymes !...et/ou suis morte de rire)
 
Etudiante à Lyon, j’avais une vie déjà bien chargée, et je cherchais du coup tous les moyens possibles pour gagner un peu de temps de ci de là. Bref je passais mon temps à courir, au sens propre comme au figuré.
Mais c’est au sens propre que cela m’a porté préjudice (ridiculisée pour être exacte).
J’avais ainsi un métro à prendre un soir. Ne voulant pas attendre le prochain pour rentrer au plus vite chez moi, et alors que le signal sonore sonnait, je bondis dans les escaliers et m’engouffre dans la première rame venue à la vitesse de Bip-Bip, mais sans le coyote. Hors, il se trouve que Bip-Bip n’a pas de sac à dos et que moi si. C’est ce détail là qui fut fatal: mon sac à dos reste coincé dans la porte du métro au moment où celui-ci démarre. Fichtre. Je me retrouve donc à l’intérieur de la rame, sauf que je suis enserrée dans la porte et que les gens, les normaux, ceux qui savent qu’il ne faut pas se précipiter lorsque ça sonne, commence à me regarder, mi-inquiet, mi-sourire aux lèvres…en vérité, la plupart sont mort de rire !!!... Et il y a matière !
Du coup, histoire de garder contenance, et vu que, forcément, ce trajet là entre deux stations est particulièrement long, je décide de me défaire du sac (celui-là, personne ne viendra me le voler) et de prendre un peu de recul: n’ayons l’air de rien, regardons ce sac de loin, comme si ce n’était ni un problème, ni le mien… prendre l’air dégagé (du moins, dégagé du sac)…
Le sac pendouille dans le vide, ça ne ressemble à rien...rien de commun en tout cas.
Le temps parait long parfois…La foule me regarde: ça y est, j’ai mon quart d’heure de gloire (non mais il est super nul celui-là !!!...)
Bon, les portes s’ouvrent. Forcément, je suis la première à descendre, je ne regarderais pas trop autour de moi: tout le monde se marre… allez, moi la première (rire nerveux, on est d’accord…m’ont fait peur quand-même ces portes…)
L’histoire ne finit pas là: en rentrant à la maison, je raconte ma mésaventure à ma mère qui comprend de travers: elle croit que je me suis retrouvée sur le quai avec mon sac à dos coincé dans la porte du métro: elle se décompose; et en même temps, je suis bien vivante devant elle. C’est bien que tout cela doit être moins grave qu’il n’y parait. Et oui, je vous le disais : RIDICULE.

Mais le ridicule ne tue pas: j’en suis la preuve vivante.

Il se trouve que, de manière générale, les sacs à dos, contrairement à Dora l’exploratrice, ne sont pas mes amis.
Aéroport de Birmingham, lors du fameux échange linguistique avec une famille anglaise. Je rentre chez moi, et passe mon sac à dos aux rayons X. Comme fait exprès, les policiers décident que ce sera le mien qu’ils fouilleront de font en comble. Déjà ça m’énerve: il y a plein de monde, alors, pourquoi moi ? J’ai mis trois heures à forcer pour pouvoir tout ramener et que ça ferme, faudra tout recommencer…mais le pire n’est pas là.
Ouvrant donc mon sac, je vois la tête de l’agent de police se modifier: houlà, il y a un problème.
Aurais-je servi de mule à mon insu ?...La vérité n’est pas glorieuse.
Juste avant de partir, ma correspondante m’a fait un cadeau attentionné certes, MAIS empoisonné : elle a déposé dans mon sac un petit encas, composé, entre autre, d’un fromage à tartiner du type Vache qui Rit. Or, ayant un brin bourré mes affaires, le fromage en question s’est écrasé, et ce n’est rien de le dire: il y en a de partout, c’est dégueu, ça colle, c'est gras, ça pue, C’EST LA HONTE !!!...
Encore une fois me direz-vous, on s’habitue non ? Ben en fait non, on ne s’habitue pas: moi j’aime pas les sacs à dos.

Et en même temps, lors d’un voyage de groupe en Grèce, c’est ce dernier qui m’a sauvée.
Celui-là, on ne pouvait pas le louper: jaune canari, usé, démodé, limite improbable. Son absence de propriétaire, au moment de partir prendre le bateau pour les iles, a mis la puce à l’oreille d'une personne du groupe: de deux choses l’une, soit ce sac était trop moche et personne ne souhaitait être vu avec, soit son propriétaire était absent et/ou avait un problème. EFFECTIVEMENT, cela faisait vingt bonnes minutes que j’étais coincée dans les toilettes du sous-sol du resto, par, plus ou moins, 38 degrés Celsius (Athènes au mois d’Aout ), j’avais eut le temps de démonter la serrure avec mon couteau suisse (qui ne me quitte jamais allez savoir pourquoi…), en vain, de tenter une sortie par escalade mais murs bien trop haut pour moi, de m’époumoner, et enfin, de compter sur la présence de mon sac à dos misérable pour que quelqu’un s’interroge (premier jour de voyage, personne ne connaissait encore personne, faible espoir qu’on remarque mon absence…)
Le propriétaire du lieu a plus ou moins dû défoncer la porte: je lui ai remis les pièces détachées de sa poignée pourrie dans les mains, et suis partie, digne, et trempée de sueur… avec mon sac à dos jaune…

Rhaaa, j’ai la chanson de Dora dans la tête « Sac à dos/Sac à dos »…misère :
http://www.youtube.com/watch?v=li5UHeuimOk



 

Parfois je rêverais d’être une paire de botte en caoutchouc verte et bleue porteuse de plantes vertes mollassonnes : ça parait paisible comme existence…

D'autres photos de friches par ici :
Friche industrielles
 
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CHRONIQUES D'UNE MÈRE AU FOYER MAIS PAS QUE.

28/05/2013

Rêve d’apesanteur…des heures, des heures…

…Et de trois…
Le titre n’est pas un hommage à Bashung, même s’il le mériterait, mais bien un désir, une utopie personnel: ne plus sentir le poids de mon corps, pourtant très relatif (48kg toute mouillée /pas épilée), afin de passer enfin UNE nuit sereine.
Alors, oui, j’ai pris un risque inconsidéré: je me suis endormie presque allongée (deux mois que je dors plus ou moins assise pour cause de coqueluche et cage thoracique fissurée de-ci de-là ) ET, position fort téméraire de ma part, sur le coté. Tel Elephant Man qui rêvait de dormir une fois dans sa vie comme tout être humain dit « normal » (allongé donc), ET qui en paya de sa vie, je l'ai moi, payé d’une cote fêlée: la troisième, en deux mois, vous conviendrez que c’est une... ou deux…ou trois de trop !
Effectivement, en ce moment, je suis en sucre mais en même temps, je ne suis pas morte comme Elephant Man et c'est déjà ça!

… Et de quatre…
Ma bonne dame, soyez indulgente, j’ai été super nulle, c’est vrai, MAIS je suis exténuée en ce moment. Ça compte tout de même… ?...suis vraiment indigne ?...encore ?...
Bref, j’ai oublié d’aller chercher les filles à l’école.
Et pas que les miennes, non, non, non, QUATRE D’UN COUP, tant qu’à faire (deux à moi/deux pas à moi)!!!
Mon mot d’excuse: semaine confuse avec jour férié et rattrapage le mercredi, routine contrariée donc + grooOOOsse fatigue comme expliquée ci-dessus) + boulot chronophage sur ordinateur + gros pas de bol. En effet, me connaissant (39ans que je vis dans ce corps-ci, je commence à en connaitre ses limites, sa mémoire de poisson rouge par exemple), je fais sonner des alarmes quotidiennement pour ne pas louper l’heure de l’école. Sauf qu’il s’agit d’une alarme téléphonique, et ce jour là, vous qui êtes vif d’esprit, vous l’avez déjà compris, ben j’étais au téléphone au moment où ça aurait dû sonner. Ah bah oui, c’est ballot (ça n’a pas pu sonner du coup)…En vérité, quand j’ai vu l’heure qu’il était (une demi-heure de retard, entre midi et deux, ça bouleverse considérablement l’organisation mais ça reste sauvable), j’ai eu envie de pleurer, sentie trop nulle, débordée, mal partout, fatiguée, enfants surement inquiets, parents qui n’aurons plus confiance, instits perplexes…bouh.
JE N’ARRIVE PLUUUUS A TOUT FAIIIIRE…snif et re-bouh.

Et pourtant je prend le temps de blogger me direz-vous, oui mais là, il est tard, les gosses dorment (et c’est une bonne chose…n’ont pas été très traumatisées finalement), mon homme est parti (non mais il devrait revenir demain si tout va bien), alors je fais ma pause thérapie collective: partager avec vous mes moments de solitudes.
J’enchaine ainsi tout en douceur sur le sujet de la prochaine chronique et j’en profite pour illustrer de photos qui elles, n’ont rien à voir avec le reste, mais comme je viens de les faire et que j’en suis plutôt contente, je partage aussi :

 

Alors, il s’agit de L’enlèvement de Polyxène de Pio Fedi, seule statue moderne datant de 1866 dans la loggia della signoria à Florence.
Tout ça pour dire qu’en travaillant la première image en noir et blanc, j’ai été particulièrement frappée par le travaille de la main, son aspect hyperréalistes m’a profondément touchée. Déjà que j’ai régulièrement envie de pleurer (oui, je sais, je pleure souvent), quand je vais à Florence, je suis toute bouleversifiée (je me comprends) devant tant d'œuvres artistique majeures, et si le charme continu d’opérer en photo alors, comment vous dire ... Joie!!!
La suite des images est par là (une nouvelle planche photo de statues ajoutée aux planches de Toscane):
blog/photos-cat-354130-1948733034-toscane_.html



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... MÈRE AU FOYER MAIS PAS QUE.

14/05/2013

Petit bilan de printemps.


Alors, effectivement, la saison n’est pas encore finie, mais vous en conviendrez, elle a commencé de façon toute pourrie, j’en profite donc pour faire une petite pause et revenir, de-ci de-là, sur quelques perles qui m’avaient échappées...et me suis rendu compte qu'il y avait des constantes :


Côté élocution, Lili-Puce est en progrès… ou presque.
- Affamée, elle nous demande une cracrotte pour tartiner son pâté (rien de scatto en fait, juste une prononciation douteuse).
- Lors d’une mythique soirée soupe (quand elle n’aime pas, chacun est au courant, n’empêche qu’elle la mangera quand même), on l’entend murmurer: « j’ai envie de …ourir ». Hein, quoi ?! T’as envie de mourir ?! Pour de la soupe, c’est pas un peu exagéré, non ? « Mais noooon, j’ai envie de vomiiiir ! » Ha bon, ben dans un sens, je préfère (c’est cracra mais moins dramatique).
- On regarde un clip de Téléphone avec sa sœur, elle veut le nom de celui qui joue de la guirate ?!...Allez savoir…
- Récemment, trémolos dans la voix (rhume des foins sévère pour excuse), elle me demande: « J’ai le temps de jouer avant que tu m’emmène chez le vétérinaire ? ». Alors oui, je lui ai raconté l’histoire du hérisson écrasé malgré moi (voir chronique ici) et emmené (en vain) d’urgence chez le véto, mais mon Dieu, Lili-Puce, tu n’es pas un animal de compagnie il me semble (bien que tu sois très câline et c’est adorable), et puis, je ne t’ai pas roulé dessus que je sache…enfin pas encore (pourquoi crois-tu que je t'habille de rouge ?…)
- J’écoutais France Inter sur l’ordinateur, elle voit la photo de Frédérique Lopez, s’approche et me demande (elle a 5 ans): « C’est Jean-Marc Ayrault lui ? » !!!...Alors, pour bien vous situer le truc, personne n’avait parlé du premier ministre dans la journée. Au jeu du Simon, si elle arrive à se souvenir de trois touches, c’est le grand maximum. Elle ne se souvient que de la première strophe des chansons de l’école. Alors le truc, c’est quoi ? Une mémoire hyper sélective ? Un bug sur les premiers ministres...de la cinquième république...de gauche (pas si nombreux, il est vrai) ?...
- J’ai enfin trouvé l’explication au fait qu’en voyant un zèbre, puisqu'on en croise souvent en Provence, c'est connu…bref, à chaque fois, elle me parlait d’un nèbre. J’ai dû la reprendre à maintes reprises la dessus, en finissant par me dire que le coté encourageant, c’est qu’elle savait dire « Jean Marc Ayrault » à défaut de «zèbre » (chacun son truc quoi). 
Et puis un jour, j'ai tout compris. Prononçant (des) zèbres au pluriel, elle pensait qu’il s’agissait en fait d’une liaison: des èbres (zèbres)/un èbre (nèbre). Non mais elle n’est pas complètement sotte non plus ma fille, elle a son monde à elle quoi (elle aime les Jean-Marc…)
Bref, on s’amuse bien.

Tiens, puisque c’est Jean-Louis Aubert qui jouait de la « guirate » donc , je terminerais ce post par une réflexion sympathique de sa part à propos des priorités de l’existence. Le fait que l'essentiel, finalement, c’était de bien savoir FAIRE LA DIFFÉRENCE ENTRE L'IMPORTANT NON URGENT ET LE NON IMPORTANT URGENT. L’air de rien, c’est très bien dit tout ça. Ça m’a touché.
Le nombre de fois où je remballe mes filles, parce que j'ai le ménage à faire, le chèque à remplir, le mail à renvoyer… et suis passée à coté de leur jolie existence… Et en même temps, quelques fois, c’est pour apprendre que le crottin en plastique du cheval playmobil a disparu : parfois on ne ratte pas grand-chose non plus…
Je vous laisse donc méditer là-dessus.

 « Cold Dog » ou "Le chien qui ne voulait pas qu’on le prenne en photo pour pouvoir dormir en paix." Dormir en paix/une idée que je caresse moi aussi parfois...

D'autres bestioles en noir et blanc sont visibles par ici (site photo):



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CHRONIQUES D'UNE MÈRE AU FOYER MAIS PAS QUE.

07/05/2013

La coqueluche du quartier.

J’ai donc décidé, via cette chronique, de tenter de dédramatiser la chose: j’ai actuellement 39 ans (non, ce n’est pas ça qui est grave) et je viens donc tout juste d’attraper la coqueluche !
Si, c’est possible: par l’intermédiaire de ma fille, qui elle, est bien vaccinée MAIS l’a chopé quand même, de manière atténuée dira-t-on et c’est déjà ça de bien, car pour être honnête, C’EST ABSOLUMENT N’IMPORTE  QUOI  CETTE MALADIE !!!
Pour résumer, ça fait déjà un mois que ça dure, dont la moitié à suffoquer toutes les nuits en se demandant à quel moment exactement l’air va revenir...ou pas (quand je vous dis que c’est flippant). Heureusement, personnellement, il me reste tout un tas de choses absolument passionnantes et ébouriffantes (au moins) à faire, j’ai donc décidé de ne pas mourir là tout de suite, et, ainsi, d’arriver à retrouver à chaque fois un peu d’air au moment où ça devenait critique. Tout de même, on comprend à ces moments là que les enfants en bas âge puissent décéder !
Du coup, j’en ai aussi profité pour me fêler quelques côtes. Oui, les quintes de toux sont pour le moins violentes ! D’abord à gauche. J’ai relativisé (je suis droitière, j’arrivais encore un peu à conduire, manger, blogguer…), et puis à droite: baisse de moral sur ce coup là.
Alors, la coqueluche, déjà, en soi, vous l’aurez compris, c’est pénible (oui, je sais, j’ai mis plein de virgules partout, mais je m’en fou, je suis malade, je fais ce que je veux, ça me console).
De la même manière, des cotes fêlées, c’est particulièrement déplorable (essayiez de dormir avec ça, c’est bien simple: vous ne pouvez pas).
MAIS, l’un dans l’autre, cotes fêlées et coqueluche, franchement…je ne trouve pas les mots: … fait troooop maaaal... Bref, IL VA FALLOIR QUE ÇA CESSE !

Alors, il y en a qui choisissent d’avoir un nénuphar dans les poumons (Chloé dans l’écume des jours pour les incultes), c’est à la mode en ce moment. C’est vrai que c’est plus poétique. Bon, par contre, cela semble encore plus mortel comme truc. Moralité: je m'en sors bien.

Tiens, un détail qui ne trompe pas sur le fait que c’est encore pire la nuit que le jour: en vous levant le matin, vous avez aussi mal à la mâchoire. Et oui, vous avez serré les dents toute la nuit !

Je passe donc une bonne partie de mes nuits en enfer, sauf que c’est sans Georges Clooney, ce qui est bien dommage: ça m'aurait atténué un peu le problème ! Pour ceux qui auraient décroché, je faisais allusion au film  de Rodriguez  « Une nuit en enfer », scénario de Tarentino, avec George presque tout jeune dedans/son premier rôle au cinéma/rhalala, m’a fait rêver lui…bon, le film, est pour le moins violent…mais la coqueluche aussi, vous en conviendrez !...
Pour vous situer côté douleur, depuis peu, ça correspondrait plus ou moins à un accouchement par les reins. Ça aussi j’ai testé: c’était mon premier accouchement, je me demandais si le niveau de souffrance était normal, j’ai donc tenté de tenir le plus longtemps possible (comme conseillé par la sage femme: tu parles d’un conseil !!!), une dizaine d’heure donc; ensuite de quoi j’aurais vendu père et mère et frère et poisson rouge pour une péridurale. Messieurs, vous n’accoucherez ni par les reins ni par ailleurs, imaginez alors un petit couteau qu’on vous planterait dans les côtes, remuez un peu pour simuler les quintes de toux, ça vous donnera une idée…

Bref, comme le résumait fort bien Lili-Puce récemment, suite à tout un tas d’effets secondaires déplorables dus à son allergie aux pollens (nez morveux, yeux collés, oreilles et gorge fort irritées…) et suite au fait que je lui faisait remarquer avec beaucoup de compassion que ce jour là, ce n’était vraiment pas son jour, de me rétorquer: « EN CE MOMENT, TOUS LES JOURS C’EST PAS MON JOUR !!! … »
Oh que c’est bien dit ça !

Grippe en hiver, coqueluche au printemps…moi je vous le dit: vivement l’été !
Pour les petits curieux, voici l’explication de l’expression utilisée dans le titre :
http://www.32secondes.fr/2011/05/16/expression-etre-la-coqueluche/

…Et sinon, vous, ça va (la crise, la récession, la météo toute nase...ha le joli mois de Mai!) ?


La coqueluche, je vous le dit, c’est la misère.
La suite des photos (devant/derrière l’objectif…oui, c’est du boulot…), est par là :
blog/photos-cat-354130-1948751114-mises_en_scene_.html
Le thème du jour: flous artistiques (au sens premier…enfin, j’espère…)

Je donne l'impression de souffrir sur cette image, en vérité, j'étais juste en train de me recoiffer: comme quoi, on fait vraiment dire ce que l'on veut à une image. Restons donc vigilent: sachons regarder sans être dupes...



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...MÈRE AU FOYER MAIS PAS QUE.